L’énigme du Cercle de Goseck

Le cercle de Goseck est l’un des plus anciens observatoires solaires connus en Europe. Érigé vers 4800 av. J.-C., ce site néolithique témoigne d’une connaissance avancée des cycles astronomiques et de leur importance pour les premières sociétés agricoles. À travers l’étude de son architecture, de ses usages rituels et de ses liens avec d’autres monuments préhistoriques, cet article explore le rôle central de Goseck dans la compréhension du rapport qu’entretenaient ces civilisations avec le temps, la nature et le sacré. De ses fonctions calendaires à ses possibles cultes solaires, nous verrons en quoi ce sanctuaire s’inscrit dans une longue tradition de pensée cosmique qui perdurera bien après le Néolithique.

L’Allemagne du Néolithique

Le cercle de Goseck est un site archéologique majeur pour la compréhension de la culture néolithique de l’Allemagne protohistorique. Édifié vers 4800 av. J.-C., ce monument constitue un témoignage essentiel des premiers sociétés sédentaires de la région. Toutefois, afin de comprendre l’origine de ses bâtisseurs, il est nécessaire de remonter plus loin dans le temps et d’analyser l’évolution des populations de l’espace germanique.

Notre histoire débute ainsi durant la préhistoire avec la culture de Hambourg, qui s’étend entre 13 500 et 11 200 av. J.-C. Ces populations, encore nomades, sont des chasseurs-cueilleurs occupant une vaste zone du nord-ouest de l’Europe. À cette époque, une culture sœur, le Creswellien, prospère parallèlement en Grande-Bretagne. La culture de Hambourg se caractérise par une relative uniformité. Ses membres vivent essentiellement de la chasse au renne, à l’élan et au castor européen, et utilisent principalement des outils en silex, ainsi que des objets en os et en bois de cerf. L’agriculture et l’élevage sont encore inexistants. L’arme de prédilection pour la chasse est le javelot à propulseur muni d’une pointe en silex, tandis que le harpon est employé pour la pêche.

Cette période cède progressivement la place à la culture d’Ahrensburg, qui s’épanouit entre 11 200 et 8800 av. J.-C. en s’étendant sur le nord de la France, la Belgique, les Pays-Bas et l’Allemagne. Bien que la sédentarisation n’y soit pas encore attestée, cette culture marque une innovation technique majeure : l’apparition de l’arc, qui se révèle plus efficace pour la chasse que le javelot. Plus au nord, la culture de Bromme, implantée au Danemark et en Scandinavie, présente de grandes similitudes avec celle d’Ahrensburg, bien que l’on y observe une abondance de pointes de flèches et une absence notable de haches en pierre.

La phase suivante est représentée par le Tardenoisien, qui s’étend de 10 000 à 5000 av. J.-C. Cette période correspond au Mésolithique, une époque de transition marquée par une sédentarisation partielle des groupes humains et par une production caractéristique d’outils en silex de forme trapézoïdale. À cette époque, la Grande-Bretagne est encore reliée au continent par le Doggerland, un territoire submergé progressivement par la montée des eaux à la fin du Dryas récent. Cette submersion, achevée vers 6500 av. J.-C., transforme la Grande-Bretagne en une île.

Les bouleversements climatiques consécutifs à la fin de l’ère glaciaire entraînent un adoucissement des températures et une modification profonde de la faune et de la flore. Les grands mammifères, tels que les mammouths, disparaissent, tandis que des espèces plus petites s’imposent. La toundra cède peu à peu la place à des paysages plus tempérés au cours du Tardenoisien.

Suit alors une phase d’expansion migratoire et d’acculturation initiée depuis l’Anatolie et les régions bordant la mer Noire. Cette dynamique marque le début de la néolithisation de l’Europe, qui s’opère d’abord dans les Balkans avec la culture de Vinča, puis en Europe centrale sous l’influence de la culture rubanée.

La culture rubanée, également connue sous le nom de Néolithique danubien, se développe entre 5500 et 4700 av. J.-C. et introduit d’importants changements sociétaux. Les populations deviennent sédentaires, adoptent l’agriculture et l’élevage, et se distinguent par une production céramique abondante. L’habitat est principalement constitué de maisons en bois, et de nombreux sites d’habitation sont recensés sur le territoire occupé par cette culture. Le cercle de Goseck est érigé à la fin de cette période, juste avant l’essor du mégalithisme en Allemagne.

La culture danubienne évolue ensuite vers une phase intermédiaire, dite de la poterie ornementée, qui s’étend de 4700 à 4200 av. J.-C. Également appelée culture danubienne moyenne, elle se distingue par d’importants changements dans les pratiques funéraires : la crémation remplace progressivement l’inhumation, et les habitations adoptent une forme trapézoïdale.

L’élan culturel et les innovations techniques engendrent alors l’émergence de différentes branches. Dans la région qui nous intéresse, cette évolution aboutit à la culture des vases à entonnoir, qui prospère entre 4200 et 2800 av. J.-C. et s’étend sur l’est de l’Allemagne, la Bohême, les Pays-Bas, le Danemark et une partie de la Scandinavie.

C’est à cette époque que débute l’édification des mégalithes dans cette région, succédant aux constructions du type du cercle de Goseck. L’agriculture du blé et de l’orge y est parfaitement maîtrisée, de même que l’élevage des moutons, bovins et porcs. Les outils en silex restent d’usage courant, bien que l’on observe l’importation d’objets en cuivre, notamment des dagues et des haches, issus de la culture de Vinča dans les Balkans.

Les pratiques funéraires évoluent également. L’inhumation redevient majoritaire, qu’elle soit individuelle ou collective, avec la construction de tumulus, dolmens ou cairns. Parallèlement, l’habitat se renforce : des palissades de bois et des fossés apparaissent autour des villages. L’outillage se diversifie, la hache en pierre devient très répandue, et la roue semble apparaître vers 3500 av. J.-C. L’art mégalithique se développe progressivement, influencé par des phénomènes d’acculturation en provenance de France, d’Espagne et du Portugal.

Enfin, d’un point de vue génétique, les populations de la culture des vases à entonnoir sont issues des chasseurs-cueilleurs européens du Mésolithique et des migrants anatoliens de la culture danubienne. Elles ne sont pas apparentées aux Indo-Européens, qui arriveront dans la région à partir de 3000 ou 2800 av. J.-C., issus de la culture de Yamna.

Le Cercle de Goseck

cercle de Goseck

Le cercle de Goseck sera édifié vers 4800 av. J.-C., soit à la fin de la période rubanée et avant l’essor de l’art mégalithique en Allemagne. Sa découverte remonte à 1991, grâce aux travaux d’archéologie aérienne menés par Otto Braasch. Les constructions du site avaient totalement disparu, mais des photographies aériennes ont révélé la présence d’une occupation humaine ainsi qu’une structure circulaire de 75 mètres de diamètre. Ce type de structure est relativement fréquent en Allemagne.

Les fouilles de grande envergure débutent en 2002 sous la direction de François Bertemes et Peter Biehl. Elles révèlent l’existence d’un ensemble de trois cercles concentriques, le tout situé sur un talus au milieu d’une plaine. Ces cercles sont formés par des tranchées dans la terre qui comportaient autrefois des piquets de bois, similaires à une palissade.

Les vestiges mettent en évidence plusieurs ouvertures dans les cercles, disposées en fonction des cycles solaires. Les différentes ouvertures marquent les levers et couchers de soleil lors des solstices d’été et d’hiver.

Les éléments archéologiques démontrent une occupation et une utilisation du site pendant environ trois siècles. Des traces d’inhumation et de crémation ont été mises au jour, avec plusieurs ossements humains et animaux. Notamment, un squelette sans tête a été retrouvé près de la porte marquant le coucher du soleil au solstice d’hiver, ce qui pourrait suggérer un sacrifice humain. Toutefois, cette hypothèse reste discutée, car il pourrait aussi s’agir d’un rite funéraire particulier sans connotation sacrificielle. Le site présente également des tessons de poterie et des vestiges d’incinération, probablement associés à des cérémonies rituelles. L’ensemble de ces indices permet de dater le monument et d’estimer sa période d’utilisation.

cercle de goseck

Suite aux campagnes de fouille, le cercle de Goseck a été reconstruit fidèlement afin d’en faciliter l’étude et de le rendre accessible au public. Il a été inauguré lors du solstice d’hiver, le 21 décembre 2005. Le site de Goseck est entouré d’un fossé circulaire qui constitue le premier des trois cercles. Ce fossé mesure environ 1,5 mètre de profondeur et présente une forme irrégulière, tandis que l’ensemble du cercle a un diamètre de 75 mètres. Le talus comporte ensuite deux cercles formés par des alignements de piquets de bois, mais aucun bâtiment central n’a été identifié.

Le sanctuaire comporte trois entrées principales, permettant de monter sur le talus avant d’accéder au premier cercle. L’une se situe au nord, tandis que les deux autres sont orientées respectivement au sud-est et au sud-ouest, marquant les levers et couchers de soleil lors du solstice d’hiver.

Les entrées des deux cercles en bois sont plus étroites que celle du talus. Par ailleurs, deux autres ouvertures, plus petites, sont disposées au nord-est et au nord-ouest afin de marquer le solstice d’été, conférant ainsi au site la fonction d’un véritable calendrier des saisons.

Après quelques siècles d’utilisation, le cercle de Goseck semble avoir été abandonné sans destruction. Il est possible que l’apparition de l’art mégalithique en pierre ait joué un rôle dans ce changement, marquant une évolution des pratiques culturelles et religieuses de l’époque.

La fonction du sanctuaire 

Cercle de Goseck

Il est toujours difficile d’interpréter les monuments des peuples du Néolithique en l’absence d’écriture. Il est donc nécessaire d’utiliser les éléments anthropologiques ainsi que les vestiges archéologiques afin de comprendre la culture, les systèmes religieux et funéraires de ces peuples.

Le premier constat est que le site n’était pas un lieu d’habitation. Les villages se trouvent à proximité, et le cercle de Goseck revêt donc en toute logique un aspect rituel. Les traces d’incinération et la présence de céramiques nous laissent à penser que le sanctuaire de Goseck avait une fonction cérémoniale. Les sacrifices d’animaux y étaient pratiqués, et la présence d’ossements humains laisse planer l’hypothèse de pratiques sacrificielles. Cependant, le corps inhumé sans tête pourrait tout aussi bien s’inscrire dans le cadre d’un rituel funéraire. Il est impossible de départager ces hypothèses à ce stade. Le cercle de Goseck a pu avoir une fonction de nécropole, mais cela ne semble pas être sa destination première. Un site utilisé pendant plusieurs siècles avec une vocation mortuaire aurait livré davantage de vestiges.

Cela nous conduit naturellement à la question de l’orientation du site en lien avec les phénomènes de solstice. Une société agricole comme celle de la culture danubienne du Ve millénaire av. J.-C. dépend du cycle des saisons. Il est essentiel de connaître les périodes propices aux semailles et aux moissons, comme dans toutes les cultures agricoles. Le sanctuaire de Goseck devient alors un observatoire, un calendrier physique de ces cycles. Chaque passage de saison y est représenté avec ses points culminants. Les qualités d’observation nécessaires pour l’édification de ce monument ne sont bien entendu pas apparues du jour au lendemain, mais résultent d’un long processus d’observation, indispensable à une société devenue sédentaire depuis plusieurs siècles. Le sanctuaire de Goseck n’est peut-être pas spécifiquement un calendrier, mais plutôt un hommage aux dieux du ciel et de la fertilité, ainsi qu’aux hommes qui ont su dompter les cycles des saisons et se sont approprié les secrets des dieux, leur permettant ainsi de maîtriser l’agriculture et d’assurer la prospérité.

D’où la troisième fonction de Goseck : les processions. Les sites d’habitation étant à proximité, Goseck était facilement accessible, et le choix du site n’est évidemment pas dû au hasard. Les trois entrées du lieu pouvaient structurer un parcours processionnel menant à une cérémonie de culte solaire au centre du cercle. Je vous livre un exemple hypothétique : la veille du solstice d’hiver, quelque temps avant le coucher du soleil, les habitants partent du village, entrent sur le talus par l’entrée sud-ouest, avec le soleil derrière eux qui leur ouvre la voie. Une fois au centre, ils peuvent accomplir une cérémonie rituelle en attendant que le soleil se lève dans toute sa splendeur par l’entrée sud-est, marquant ainsi le lever du soleil au solstice. Cette interprétation peut prendre d’autres formes, mais elle est cohérente avec le rite du Neu Sonne, Nova Heol, ou encore nouveau soleil dans notre langue. Le lever du soleil au solstice d’hiver marque symboliquement la victoire de la lumière sur les ténèbres et le retour des jours glorieux. Les nuits cessent de rallonger, et ce sont désormais les jours qui s’allongent. Il est probable qu’il existait des cérémonies similaires pour le solstice d’été. Cette fois, ce n’était pas la victoire du soleil qui était célébrée, mais sa toute-puissance, de la même manière que nos feux de la Saint-Jean actuels. Cependant, notons que les portes du solstice d’été ne sont pas autant mises en valeur que celles du solstice d’hiver et ne bénéficient pas d’une entrée directe par la fosse extérieure. Cela donne une prédominance au rite effectué lors du solstice d’hiver.

La forme en cercle concentrique et les deux palissades permettaient de circuler entre les différents espaces, probablement dans un but rituel, reproduisant les mouvements du soleil. Il est possible que le culte lunaire y ait également été célébré, mais les éléments archéologiques ne nous permettent pas de l’affirmer. Dans tous les cas, le cercle de Goseck était bien plus qu’un simple observatoire ou un calendrier des saisons. C’était le sanctuaire le plus précieux de ce peuple, le lieu où était accomplie la théophanie, ou, si vous préférez, la reconstitution rituelle d’un schéma cosmogonique de mort et de résurrection du soleil.

Symbolisme de Goseck

L’analyse du cercle de Goseck met en évidence son rôle en tant que sanctuaire solaire, observatoire astronomique et lieu de rites saisonniers. Cependant, il est intéressant d’élargir cette perspective en comparant ce site avec d’autres traditions et monuments liés aux cycles solaires et cosmiques.

L’un des éléments les plus frappants du cercle de Goseck est l’importance accordée au solstice d’hiver. Ce moment de l’année, où la lumière commence à reprendre le dessus sur l’obscurité, a été symboliquement intégré dans de nombreuses traditions religieuses. Dans le christianisme, la naissance de Jésus-Christ est célébrée le 25 décembre, une date qui coïncide avec les festivités du solstice d’hiver dans plusieurs civilisations antiques. Si la Bible ne précise pas la date exacte de la naissance de Jésus, la fixation de Noël au 25 décembre par l’Église au IVe siècle semble découler d’une volonté de superposer cette célébration aux anciennes fêtes solaires, notamment celles du Sol Invictus romain et des Saturnales.

Avant même l’essor du christianisme, le culte de Mithra, très populaire dans l’Empire romain, célébrait la naissance du dieu solaire le 25 décembre. Mithra, issu d’une tradition indo-iranienne, était un dieu de la lumière et du renouveau, dont le culte reposait sur des rites initiatiques et des notions de résurrection. La ressemblance entre la symbolique mithriaque et celle de Goseck est frappante : le retour de la lumière, l’importance du cycle cosmique et l’idée d’un renouveau périodique de la nature s’y retrouvent pleinement. Il est alors tentant d’émettre l’hypothèse que le cercle de Goseck, tout comme d’autres sanctuaires préhistoriques orientés sur le solstice d’hiver, reflète une pensée spirituelle archaïque où la renaissance solaire symbolisait un cycle cosmique de mort et de résurrection.

Un autre élément d’analyse peut être apporté par l’hypothèse du culte tripartite développée par Georges Dumézil. Selon cette théorie, les sociétés indo-européennes étaient structurées autour de trois grandes fonctions : la souveraineté spirituelle et religieuse, la fonction guerrière et la fonction productrice. Appliqué au cercle de Goseck, on peut imaginer que ceux qui interprétaient les cycles solaires et conduisaient les rites incarnaient la fonction sacerdotale. La présence de sacrifices humains pourrait, quant à elle, être liée à une classe guerrière ou à des rituels destinés à assurer la protection et l’ordre cosmique. Enfin, le lien entre Goseck et l’agriculture témoigne de l’importance de la fonction productrice, où l’observation des saisons permettait d’organiser les semis et les moissons. Tout cela tend à confirmer que Goseck n’était pas simplement un calendrier, mais un lieu où les structures sociales et religieuses s’articulaient autour du cosmos et de ses cycles.

Si l’on compare Goseck à d’autres sites archéologiques, plusieurs parallèles peuvent être établis, notamment avec Stonehenge. Ce monument mégalithique britannique, également aligné sur le solstice d’été et d’hiver, témoigne d’une connaissance avancée de l’astronomie et d’un usage rituel lié aux saisons. Cependant, une différence majeure réside dans la nature des constructions : Goseck, plus ancien, appartient encore à la tradition des sanctuaires en bois, tandis que Stonehenge, comme d’autres sites mégalithiques européens, marque une transition vers la pierre. Ce passage du bois à la pierre se retrouve dans plusieurs cultures néolithiques, suggérant une évolution progressive des pratiques religieuses et architecturales.

disque de nebra

Un dernier élément fascinant à comparer est le disque de Nebra, découvert en Allemagne et daté d’environ 1600 av. J.-C. Cet artefact en bronze orné de représentations du soleil, de la lune et d’astres est considéré comme l’une des plus anciennes cartes célestes connues. Il témoigne d’une continuité dans l’intérêt des populations germaniques pour l’astronomie et la sacralisation des cycles cosmiques. Si Goseck marque une première phase où l’observation du ciel s’intègre à l’architecture monumentale, le disque de Nebra montre une évolution vers une représentation plus abstraite et portable du cosmos. Ces deux vestiges confirment que, depuis le Néolithique jusqu’à l’âge du Bronze, la perception du temps, du sacré et des astres restait au cœur des préoccupations des populations européennes.

Ainsi, en reliant le cercle de Goseck aux mythes solaires, aux traditions religieuses postérieures et aux avancées astronomiques des sociétés européennes, on perçoit combien ces sociétés anciennes avaient déjà une vision complexe du cosmos, où la lumière et l’obscurité rythmaient non seulement les cycles naturels, mais aussi les croyances et les pratiques humaines.

Bibliographie 

  • Cercle de Goseck: Saxe-Anhalt, Allemagne, National Aeronautics and Space Administration, Archéoastronomie, Avebury, Disque de Nebra, Stonehenge, Frédéric P Miller
  • F. Bertemes, P. Biehl, A. Nothe, O. Schröder, Die Neolithische Kreisgrabenanlage von Goseck
  • Jean Guilaine, Atlas du Néolithique européen
  • Geoffrey Cornelius et Paul Devereux, Le Langage des étoiles. Un guide illustré des mystères célestes
  • http://philippelopes.free.fr/ ObservatoireGoseck.htm
  • http://www.sonnenobservatorium-goseck.info

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